Souvent nous y pensons : Et si j'allais consulter...Mais, pourquoi ? Est ce utile ?...
Nombreuses sont les personnes qui auraient souhaitées consulter un "psy". Trop peu sont celles qui ont décidées de franchir le pas. Un psy soigne, il accompagne, il ne faut pas hésiter : se faire aider doit être une priorité.
Nombreuses sont les personnes qui auraient souhaitées consulter un "psy". Trop peu sont celles qui ont décidées de franchir le pas. Un psy soigne, il accompagne, il ne faut pas hésiter : se faire aider doit être une priorité.
Je dirais que ce qui nous indique qu’il est temps de consulter un psy, c’est la une sensation qui perdure, un malaise, un mal être qu’on a du mal à définir. Dès lors que cette sensation se prolonge et finit par « handicaper » notre quotidien, il est peut être temps de se poser la question de l’aide.
Pendant très longtemps, la demande d’aide a été taboue. Aller consulter un psy traduisait une folie latente, la personne se sentait pointée du doigt. Plus récemment, c’est l’effet inverse qui s’est produit : les individus partait à la recherche du psy-coach, psy-ami, psy ce que l’on veut pourvu qu’il améliore notre quotidien coûte que coûte.
Alors que dire des psys en général, qu’ils soient psychologues, psychanalystes et parfois psychiatres ?
Dans le monde professionnel, tout comme dans la vie en général, je pense qu’il soit important de demander de l’aide dès lors qu’il existe une certaine souffrance, souffrance qui peut être traduite par une sensation de déprime, quelque chose que l’on n’arrive pas à expliquer et qui bouscule nos habitudes, voire nos projets, nos envies. Ce peut être des angoisses, aussi, une sensation de stress, une nervosité, des difficultés pour communiquer. De manière plus évidente, après un évènement vécu dans la douleur et après lequel nous n’arrivons pas à émerger.
Les douleurs physiques sont tout autant révélatrices de malaise (gastrite, douleurs persistantes, céphalées, etc…)
Je dirais, donc, qu’une personne doit pouvoir faire la démarche vers un réseau de soin, dès lors qu’elle sent que ça ne va pas. Parfois, sans s’y attendre, un professionnel de la Santé va soulever les problèmes latents et, très rapidement, la souffrance peut disparaitre. Il ne faut pas hésiter : <b>se faire aider doit être une priorité.
De nos jours, dans le monde professionnel, mais cela est vrai dans les autres domaines (familiaux, relationnels, amicaux, etc.…), les exigences sont telles que nous croulons sous des poids qui peuvent, tout à coup, nous faire perdre nos moyens de défenses. Dans notre course quotidienne, nous oublions alors que l’être humain à ses limites, ses désirs : qu’il existe ! En oubliant de vivre, les malaises, le stress nous envahissent et nous finissons par souffrir.
Choisir un bon psy : Il n'existe de bon psy que celui avec qui vous vous sentez bien.
La tierce personne devient une obligation : entendre les difficultés, accompagner dans l’introspection, seul un professionnel peut alors vous aider.
Patricia LUKAC
Psychologue de la Santé
patricia.lukac@gmail.com
Pendant très longtemps, la demande d’aide a été taboue. Aller consulter un psy traduisait une folie latente, la personne se sentait pointée du doigt. Plus récemment, c’est l’effet inverse qui s’est produit : les individus partait à la recherche du psy-coach, psy-ami, psy ce que l’on veut pourvu qu’il améliore notre quotidien coûte que coûte.
Alors que dire des psys en général, qu’ils soient psychologues, psychanalystes et parfois psychiatres ?
Dans le monde professionnel, tout comme dans la vie en général, je pense qu’il soit important de demander de l’aide dès lors qu’il existe une certaine souffrance, souffrance qui peut être traduite par une sensation de déprime, quelque chose que l’on n’arrive pas à expliquer et qui bouscule nos habitudes, voire nos projets, nos envies. Ce peut être des angoisses, aussi, une sensation de stress, une nervosité, des difficultés pour communiquer. De manière plus évidente, après un évènement vécu dans la douleur et après lequel nous n’arrivons pas à émerger.
Les douleurs physiques sont tout autant révélatrices de malaise (gastrite, douleurs persistantes, céphalées, etc…)
Je dirais, donc, qu’une personne doit pouvoir faire la démarche vers un réseau de soin, dès lors qu’elle sent que ça ne va pas. Parfois, sans s’y attendre, un professionnel de la Santé va soulever les problèmes latents et, très rapidement, la souffrance peut disparaitre. Il ne faut pas hésiter : <b>se faire aider doit être une priorité.
De nos jours, dans le monde professionnel, mais cela est vrai dans les autres domaines (familiaux, relationnels, amicaux, etc.…), les exigences sont telles que nous croulons sous des poids qui peuvent, tout à coup, nous faire perdre nos moyens de défenses. Dans notre course quotidienne, nous oublions alors que l’être humain à ses limites, ses désirs : qu’il existe ! En oubliant de vivre, les malaises, le stress nous envahissent et nous finissons par souffrir.
Choisir un bon psy : Il n'existe de bon psy que celui avec qui vous vous sentez bien.
La tierce personne devient une obligation : entendre les difficultés, accompagner dans l’introspection, seul un professionnel peut alors vous aider.
Patricia LUKAC
Psychologue de la Santé
patricia.lukac@gmail.com